Des années 1930 jusqu’aux début des années 50, les conditions de vie des espagnols étaient particulièrement difficiles. Entre les guerres et la famine, il fallait survivre.

Il s’agit ici de rendre hommage à ces femmes, souvent mère de famille nombreuse et sans mari. Elle déployaient une force extraordinaire pour élever leurs enfants, avec tout l’amour, la force et le courage qu’elle pouvaient puiser en elles.

– Ces femmes ont tellement travaillé !

– On dirait que c’est ma grand-mère sur la droite. La pauvre, avec 11 enfants.

– Ces femmes étaient si fortes. Quel fardeau elles portaient sur la tête. Visiblement le fait de manger peu et de marcher beaucoup permet d’avoir une bonne corpulence. Regardez aussi l’état de la route comme elle était en mauvais état.

– Ce ne serait pas mal de voir ces femmes dans une peinture murale autour de la Peña, à Mieres. Il faudrait qu’elles soient peintes telles qu’elles sont là, à taille normale. Ce serait un merveilleux souvenir pour tout le monde. Je ne sais pas qui paierait pour cela, mais c’est une oeuvre d’art totale.

– C’est vrai, cela fait envie. À Mieres aussi, ils ont peint une fresque du côté de ce qui était le Café du Paris.

Mujeres muy honorables

Desde la década de 1930 hasta principios de la de 1950, las condiciones de vida de los españoles fueron especialmente difíciles. Entre guerras y hambrunas, había que sobrevivir.

Se trata aquí de rendir un homenaje a estas mujeres, a menudo madres de familia numerosa y sin marido. Demostraron una fuerza extraordinaria al criar a sus hijos, con todo el amor, la fuerza y ​​el coraje que pudieron sacar en ellas.

– ¡Estas mujeres han trabajado tan duro!

– Se parece a mi abuela a la derecha. Los pobres, con 11 hijos.

– Esas mujeres eran tan fuertes. Qué carga llevaban sobre sus cabezas. Evidentemente el hecho de comer poco y caminar mucho te permite tener una buena complexión. Fíjate también en el estado de la carretera ya que estaba en mal estado.

– No estaría mal ver a estas mujeres en un mural por los alrededores de la Peña, en Mieres. Deben pintarse tal cual, a tamaño normal. Sería un maravilloso recuerdo para todos. No sé quién lo pagaría, pero es una obra de arte total.

– Es verdad, te dan ganas. También en Mieres pintaron un fresco en el lateral de lo que era el Café du Paris.

À ma famille des Asturies
Barrio la Peña, Terre paternelle

(Sources principales : Facebook de Barrio La Peña)
(Referencias principales : Facebook de Barrio La Peña)

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