Les souvenirs culturels qui construisent notre identité
Les œuvres qui nourrissent notre imagination sont comme des briques qui construisent notre identité. Faire une liste de ces souvenirs culturels est une aventure passionnante. On comprend mieux comment a été façonné notre personnalité. En somme, on sait un peu mieux qui nous sommes. Sur cette page, je t’invite à découvrir les images et les sons qui ont baigné ma jeunesse. Cette liste est vouée à s’agrandir au fil du temps.
Bercer par un immense bleu
Le bruit de la mer, le clapotis des vagues, les profondeurs de l’océan, le chant des sirènes et le cri des dauphins.
Puis cet horizon qui souligne sans cesse l’infinité et ses mystères.
Jusqu’à s’y perdre, pour toujours.
Bref, c’est le film que j’ai vu le plus de fois dans mon vie.
Film – LE GRAND BLEU (1988) – Luc Besson
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À la rencontre de l’âme du monde
L’Alchimiste est la référence littéraire incontournable de Paolo Coelho. Mais c’est bien plus qu’un livre. C’est un guide spirituel, une lanterne pour éclairer des chemins trop obscurs.
Chaque page est une leçon de vie et nous enseigne à mieux percevoir le monde qui nous entoure. Il s’agit d’être attentif aux signes et au langage de la nature pour comprendre que l’univers est un tout dans lequel nous ne formons qu’un.
L’Alchimiste nous incite également à partir à l’aventure, à marcher, à observer, à se perdre pour mieux se retrouver. Ce livre nous montre que les choses ne révèlent rien par elles-mêmes. C’est en les observant avec attention que nous découvrons la façon de pénétrer l’Âme du monde.
J’ai lu à la suite plusieurs oeuvres de Paolo Coelho, mais l’Alchimiste est un livre de référence qui devrait être lu et relu. Il s’adresse à tous ceux qui cherchent à mieux comprendre leur place dans l’univers et à trouver leur chemin dans la vie.
Livre – L’ALCHIMISTE (1988) – Paulo Coelho
Le Petit Prince : une invitation à explorer notre enfant intérieur
Le Petit Prince de Saint-Exupéry est un conte à la fois philosophique et poétique, qui captive les petits comme les grands. Ce livre nous rappelle l’importance de rester connecté à notre enfant intérieur et de voir le monde avec notre cœur. Le personnage du Petit Prince nous invite à regarder au-delà de l’immensité. On apprend à voie la beauté dans les choses les plus simples.
Comme l’auteur l’exprime si bien, « J’ai toujours aimé le désert. On s’assoit sur une dune de sable. On ne voit rien. On n’entend rien. Et cependant quelque chose rayonne en silence. » Ce passage poétique nous rappelle que, même dans le vide apparent de la vie, il y a une beauté cachée qui attend d’être découverte. Prendre le temps de nous asseoir, de réfléchir et de contempler le monde qui nous entoure. En vérité, nous ne sommes jamais vraiment seuls.
Le Petit Prince nous offre un message intemporel qui peut être appliqué à tous les aspects de la vie. Il s’agit de rester fidèle à nous-mêmes et de cultiver notre imagination. La magie est présente partout dans l’univers qui nous entoure.
Livre – LE PETIT PRINCE (1943) – Antoine de Saint-Exupéry
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Sioux toujours
Des immenses espaces. Des toiles de tente ou une cabane de fortune au milieu du désert. La nature dans son plus simple appareil. La solitude qui apaise loin de la foule trop arrogante. La rencontre avec l’animal mystérieux et sauvage, le loup. Une confrontation entre deux mondes.
Il y a un langage universel qui se révèle à travers la contemplation d’une beauté brute et authentique. Les colons européens ne laisseront pourtant aucune chance aux indiens.
Face à cette puissance de la nature sauvage, ce film invite à préserver les cultures autochtones. La diversité culturelle doit être respectée. Nous sommes les gardiens de la beauté du monde.
Film et Livre – DANSE AVEC LES LOUPS (1988) – Michael Blake
Le gros bazar sans Toi
Arno à la française, c’est sur cet album qu’il me fallait te rendre hommage.
C’est à partir de là que j’ai gravé quatre lettres sur l’identité de mon fils. En son deuxième prénom : Arno. Pour qu’il n’oublie jamais. Parce que dans les yeux de sa mère, il y a toujours une lumière.
Bon, pour l’instant il pense juste que je lui ai filé le prénom d’un mec bourré. Mais il a encore le temps de ressentir la beauté dans la liberté d’être soi.
C’est la poésie qui nous sauvera de ce gros bazar. Sauf que là, déjà que c’était pas facile, alors sans Toi ça l’est encore plus.
On s’en fout des coiffeurs, c’est Toi mon plus beau chanteur de charme.
Arno, putain, putain, c’était vachement bien.
Album – ARNO A LA FRANCAISE (1995) – Arno
🌳 Et toi, quels sont tes souvenirs culturels de tes jeunes années ? 🌳