D comme… Décès de travailleurs de la mine

D comme… Décès de travailleurs de la mine

Plus de 5000 travailleurs de la mine ont succombé dans les puits liés à l’exploitation minière des Asturies, depuis le début de son histoire. C’est ce que parvient à comptabiliser Mario García Antuña dans son livre “Catástrofes mineras Asturianas” (Catastrophes minières Asturiennes). L’auteur décrit dans son ouvrage les principaux accidents sur cette région d’Espagne. Mais faute de traçabilités possibles, le nombre de décès des travailleurs de la mine est incalculable et sans aucun doute, beaucoup plus important. D’autant plus si on intègre ceux qui sont morts intoxiqués par les inhalations provoquées par les poussières de charbon ou de silice. Le contact avec les vapeurs issues du mercure est encore plus nocif.

Un spécialiste en médecine du travail, Jesús Lartitegui Arenaza, s’est exprimé sur le sujet. Il exerçait dans les mines de fer de Biscaye. Il estimait à près de 100 000 le nombre de travailleurs exposés au risque de silicose en Espagne, uniquement au début des années trente.

Le dernier accident majeur de l’histoire minière moderne aux Asturies s’est produit dans le puits San Nicolás (Nicolasa), le 31 août 1995. Quatorze travailleurs de cette mine y ont perdu la vie.

Il convient ainsi de rappeler, que le quartier de La Peña, était souvent endeuillé par les décès de mineurs.

Un ouvrier tombe dans un puit de cinquante mètres

Mieres (Asturies), 30 mars 1955. Dans la mine Métallique, dans le quartier de La Peña, l'ouvrier Enrique Benga Muniz, trente-huit ans, marié, a eu le malheur de tomber dans un puit creusé à 50 mètres de profondeur.

Les travaux ont immédiatement commencé pour sauver l'infortuné producteur.
Deux mineurs écrasés par un rocher

Mieres (Asturies), 5 juin 1954. Un accident s'est produit dans une mine de mercure, dans le quartier de La Peña, qui a coûté la vie à deux hommes.

Lorsque les ouvriers Emilio Blanco Lleras, vingt-neuf ans, et José Ramon Fernandez Hernandez, vingt et un an, tous deux célibataires et conducteurs de wagons de profession, effectuaient des travaux d'exploration dans l'une des galeries de la mine, un détachement de roche s'est produit qui a causé leur mort. 

D como… Muertes de mineros

Más de 5.000 mineros han sucumbido en fosos relacionados con la minería en Asturias desde el comienzo de su historia. Es lo que consigue dar cuenta Mario García Antuña en su libro “Catástrofes mineras Asturianas”. El autor describe en su libro los principales accidentes en esta región de España. Pero a falta de una posible trazabilidad, el número de muertes de mineros es incalculable y, sin duda, mucho mayor. Más aún si incluimos a los que fallecieron envenenados por inhalación provocada por carbón o polvo de sílice. El contacto con los vapores de mercurio es aún más dañino.

El especialista en medicina del trabajo, Jesús Lartitegui Arenaza, habló sobre el tema. Trabajó en las minas de hierro de Bizkaia. Estimó que cerca de 100.000 trabajadores estaban expuestos al riesgo de silicosis sólo en España a principios de los años treinta.

El último gran accidente de la historia moderna de la minería asturiana se produjo en el tajo de San Nicolás (Nicolasa) el 31 de agosto de 1995. Allí perdieron la vida catorce trabajadores de esa mina.

Por tanto, cabe recordar que en El barrio de La Peña, se vio a menudo enlutado por la muerte de los mineros.

Mina de Mercurio
Mina de Mercurio El Terronal, La Peña, años 1960 


À ma famille des Asturies
Barrio la Peña, Terre paternelle


(Sources principales : Facebook de Barrio La Peña)
(Referencias principales : Facebook de Barrio La Peña)

Toute personne pouvant apporter de nouveaux compléments à cet article sera écoutée attentivement.
Cualquiera que pueda aportar nuevas incorporaciones a este artículo será escuchado atentamente.

close


Ne manque pas les actualités des
ÀRBO' ECHOS !

Un abonnement = 1 arbre planté Tree-Nation

Actuellement 104 arbres plantés Tree-Nation.

*Désabonnement possible à tout moment.

Copyright © 2023 ÀRBORIGIN. Tous droits réservés.