À l’époque il n’y avait pas de numéro et de noms pour désigner les rues. On se repérait au travers des commerces existants, de l’architecture des maisons, des particularités du paysage ou des noms de famille.
Ainsi dans ce quartier de la Peña, il y avait d’autres petits autres quartiers dont celui de Maria Sixto, mon arrière grand-mère. Maria était son prénom et Sixto celui de mon arrière grand-père. Une dizaine de famille vivait dans ce quartier de Maria Sixto que l’on appelait aussi la Calleja. Toute une branche de ma famille paternelle y est né et y a grandit sur trois générations. Au fil des naissances, on agrandissait la bâtisse avec de nouvelles pierres.
Maria était couturière de costumes pour les hommes et gagnait relativement bien sa vie. Sous son toit, on avait toujours à manger dans son assiette. Elle gérait à elle seule l’intégralité du foyer et l’éducation des enfants se faisait souvent à coups de pantoufles. Avec un gabarit aussi fort que son caractère, c’est elle qui imposait les règles. Certes, la proximité de familles voisines n’a pas épargné quelques règlements de comptes à coups de castagnes. Mais l’ambiance était globalement bonne et cela grouillait de cris d’enfants heureux.
Le quartier de Maria Sixto, c’était ce qu’on appelle aujourd’hui un écolieu ou même un écovillage. Un mode de vie au travers du vivre ensemble qui ne ferait finalement que reproduire la vie d’avant. En somme, il semblerait que l’on invente rien et que certaines de nos évolutions sont en fait des régressions. Il semblerait que prendre exemple sur ses ancêtres pourrait être bénéfique. Que penses-tu de cette vision ?
Y como… Y también con el barrio familiar
En ese momento no había números y nombres para designar las calles. Identificamos a través de los negocios existentes, la arquitectura de las casas, las particularidades del paisaje o los apellidos. Entonces en este barrio de La Peña había otros barrios pequeños como el de María Sixto, mi bisabuela. María era su primer nombre y Sixto el de mi bisabuelo. Una docena de familias vivían en este barrio de María Sixto, que también se llamaba la Calleja. Toda una rama de mi familia paterna nació allí y creció allí durante tres generaciones. En el transcurso de los nacimientos, el edificio fue ampliado con nuevas piedras.
María era costurera para hombres y se ganaba relativamente bien la vida. Bajo su techo, siempre había algo para comer en su plato. Ella sola manejaba todo el hogar y la educación de los niños se hacía muchas veces con palizas de pantuflas. Con un tamaño tan fuerte como su carácter, era ella quien imponía las reglas. Es cierto que la proximidad de las familias vecinas no evitaba algunos ajustes de cuentas con palizas. Pero el ambiente en general era bueno y estaba repleto de gritos de niños felices.
El distrito de Maria Sixto era lo que ahora se llama un ecolugar o una ecopueblo. Una forma de vida a través de la convivencia que ya se reproduciría en la vida anterior. En resumen, parece que tomar ejemplo en los antepasados de podría ser beneficioso. ¿Qué opinas de esta visión?
À ma famille des Asturies
Barrio la Peña, Terre paternelle
(Sources principales inspirées du Facebook de Barrio La Peña)
(Referencias principales inspirées du Facebook de Barrio La Peña)
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