O comme… Ouvriers de la mine

O comme… Ouvriers de la mine

Quelques anciennes photos de mineurs qui coupent le souffle et imposent le respect. C’était dans les années 1920 à 1940, l’époque où les conditions des travailleurs de la mine était la plus difficile. On avançait sous terre avec des lampes à huile et une pioche pour sortir le charbon. Ce minerai noir était ensuite tiré sur des chariots par des chevaux. Dès l’âge de 13-14 ans, on allait se mettre en danger dans ces tunnels étroits ou risquer fortement d’en réduire son espérance de vie. Tout cela pour quelques pesetas afin de pouvoir se nourrir.

Vers 1945, mon grand-père a fait partie de ces équipes qui rentraient le soir avec des visages et vêtements noircis. Très jeune il est allé travailler à la mine pendant environ 5 ans. À la fin, il endossait le rôle de piqueur de charbon afin de gagner un peu plus.

Puis le déploiement de nouveaux marchés a permis à mon grand-père de sortir de dessous terre. À partir de là, tout autre forme de labeur était pour lui un paradis. Il a gardé pour toujours une force à la tâche des plus impressionnantes, mais aussi la révolte ouvrière. Mon père a hérité de toutes ses valeurs. Il aurait juste aimé se passer de claustrophobie. Syndrome certainement lié à ce quotidien terrifiant de mineur qu’il a vécu avec son regard d’enfant.

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O como… Obreros de la mina

Algunas fotos antiguas de mineros que quitan el aliento y exigen respeto. Esto fue en las décadas de 1920 a 1940, cuando las condiciones de los trabajadores de las mineros eran los peores. Iban bajo tierra con lámparas de aceite y un pico para sacar el carbón. Luego, este mineral negro era tirado en carros con caballos. Desde los 13-14 años ya se iban a poner en peligro en estos estrechos túneles o arriesgarse a reducir sus esperanzas de vida. Todo esto por algunas pesetas para poder comer.

En los alrededores de 1945, mi abuelo era uno de esos equipos que llegaban a casa de noche con la cara y la ropa negra. Muy joven se fue a trabajar a la mina durante unos 5 años. Al final, asumo el papel de picador para ganar un poco más.

Luego, los nuevos mercados permitió a mi abuelo salir de bajo tierra. Desde allí, cualquier otra forma de trabajo fue para él un paraíso. Siempre ha mantenido una fuerza impresionante en el trabajo, pero también la revuelta obrera. Mi padre heredó de todos estos valores. Sólo deseaba no haber sido claustrofóbico. Síndrome ciertamente ligado a esta aterradora cotidianidad de los minores que vivio con su mirada de niño.

Trabajadores de la mina de Penanes – 1924
Trabajadores de la mina de Noriega – 1924
Trabajadores de la mina de Noriega – 1924
Trabajadores de la mina de Noriega – 1924
Mina de la Quili – Année 1940
Mina de la Quili – Année 1940

À ma famille des Asturies
Barrio la Peña, Terre paternelle

(Sources principales : Facebook de Barrio La Peña)
(Referencias principales : Facebook de Barrio La Peña)

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